Les flammes giclent une (autre) pénombre
cadavres
cadavres
des géants à éteindre
Trop vus
trop clairement vus
tous les lampadaires se taisent
Le silence (est une) enveloppe à hurler
Ombrageux souvenirs en souvenirs dispersés
Aucun futur n’est lumineux d’avance
Qui éclaire ?
2005-2024 © Stage : Dire, lire, écrire la poésie - Tous droits réservés
Ce site est géré sous SPIP 1.9.2b [10268] et utilise le squelette EVA-Web 3.0 Bêta1
Dernière mise à jour : mardi 16 octobre 2007