O Marie si tu savais,
Tout le mal que l’on me fait
O Marie j’attendrai
Combien peut être l’immensité de ton Amour
Pour celui que tu nous a donné
Au lieu de le préserver de le choyer chaque jour
Tu t’es contentée de le laisser faire, de le laisser évoluer
Son Destin se dessinait loin de Toi
Tes bras ne pouvaient l’étreindre, le protéger
Alors, tu les as ouverts, pour qu’il suive sa voie
La souffrance devait être le lot de tes journées
Savais-tu que la souffrance de ton fils
Ne pouvait à cette heure suffire
Qu’importe, seule l’acceptation de son supplice
A fait de Toi la Mère du passé, du présent et de l’Avenir
Marie nous t’aimons tous en secret
Même l’athée ne peut avec le temps le nier
Toi la femme par excellence qui a su accepter
Le désir du Créateur que tu as tant aimé.
Tu as ouvert tes bras Marie
Au lieu de laisser l’enfant s’enfermer
Tu l’as aidé par ton Amour à se libérer
Pour qu’il puisse un beau jour nous inonder de sa Magie
Est venue mon innocence
Tu étais pour moi ma dernière chance
Peu à peu tu disparais
Malgré mes efforts désespérés
Viki
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Dernière mise à jour : mardi 16 octobre 2007